« [L]es structures de pouvoir dans une société comprennent le pouvoir  des catégories sociales et des groupes dominants de laisser volontairement  ou involontairement des témoignages susceptibles d’orienter l’historiographie dans tel ou tel sens. Le pouvoir sur la mémoire future, le pouvoir de perpétuation doit être reconnu et désamorcé par l’historien. Aucun document n’est innocent. Il doit être jugé. Tout document est un monument qu’il faut savoir dé-structurer, dé-monter. » ( , en italique dans le texte)